{"id":30676,"date":"2018-03-01T08:00:27","date_gmt":"2018-02-28T23:00:27","guid":{"rendered":"https:\/\/voyapon.com\/fr\/?p=30676"},"modified":"2021-04-27T20:47:06","modified_gmt":"2021-04-27T11:47:06","slug":"tokyo-wifi-gratuit-test-yanesen","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/voyapon.com\/fr\/tokyo-wifi-gratuit-test-yanesen\/","title":{"rendered":"Wifi gratuit et traditions \u00e0 Tokyo – Test \u00e0 Yanesen et Kagurazaka"},"content":{"rendered":"

Test du wifi gratuit et d\u00e9couvertes de Yanesen et Kagurazaka avec le Tokyo Metropolitan Government<\/em><\/span><\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

Wifi gratuit \u00e0 Tokyo accessible en quelques clics<\/h2>\n

La ville de Tokyo a eu la bonne id\u00e9e de mettre \u00e0 disposition des points d’acc\u00e8s Wifi gratuits un peu partout dans la ville<\/strong>. De nombreux spots Wi-Fi sont ainsi disponibles dans les endroits les plus touristiques de la m\u00e9tropole. Parcs, mus\u00e9es, jardins… vous pourrez d\u00e9couvrir Tokyo tout en restant connect\u00e9<\/strong> ! Toutes les informations du r\u00e9seau et la carte des diff\u00e9rentes bornes sont accessibles sur le site internet d\u00e9di\u00e9<\/a>.<\/p>\n

Test du c\u00f4t\u00e9 de Yanesen<\/strong>, pr\u00e8s d‘Ueno<\/strong>, et \u00e0 Kagurazaka<\/strong>.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

\u00c0 quelques pas de la garde d’Ueno, le spot Wifi est facilement identifiable. Arborant le titre de \u00ab\u00a0Discover & Tokyo<\/strong>\u00ab\u00a0, c’est un panneau d’information num\u00e9rique \u00e0 \u00e9cran tactile qui renferme la pr\u00e9cieuse borne Wifi qui vous permettra de vous connecter gratuitement \u00e0 internet. Il vous donnera \u00e9galement acc\u00e8s aux principales informations touristiques du quartier.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

La marche \u00e0 suivre pour se connecter au Wifi est extr\u00eamement simple. Apr\u00e8s avoir activ\u00e9 le Wifi sur votre appareil, il vous suffira de s\u00e9lectionner le r\u00e9seau FREE Wi-Fi & TOKYO<\/strong>.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

Une fois la connexion \u00e9tablie, il vous faudra ouvrir votre navigateur internet pour tomber automatiquement sur le site internet de Free Wi-Fi & Tokyo. Vous aurez acc\u00e8s au r\u00e9seau apr\u00e8s vous \u00eatre enregistr\u00e9.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

De la m\u00eame mani\u00e8re que pour de nombreux r\u00e9seaux wifi au Japon accessibles apr\u00e8s quelques \u00e9tapes faciles, rien de bien compliqu\u00e9 : la connexion sera \u00e9tablie en quelques secondes ! Vous aurez pour cela le choix entre entrer votre adresse e-mail ou vous connecter via les r\u00e9seaux sociaux.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

Choisissez l’option que vous pr\u00e9f\u00e9rez et… \u00e7a y est ! Vous pouvez profitez d’une connexion internet de qualit\u00e9 mise \u00e0 disposition gratuitement<\/strong> !<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

Le parc d’Ueno et l’\u00e9tang de Shinobazu<\/h2>\n

Le temps de v\u00e9rifier le chemin sur Google maps, auquel j’ai acc\u00e8s maintenant que je suis connect\u00e9 au Wifi, et je prends la direction de l’\u00e9tang de Shinobazu<\/strong>. L’immense \u00e9tang naturel, en plein c\u0153ur de Tokyo fait partie des lieux \u00e0 ne pas manquer lorsqu’on est de passage \u00e0 Ueno. Depuis que je vis \u00e0 Tokyo, je me suis rendu un bon nombre de fois autour de cet \u00e9tang, et je ne me lasse jamais de l’ambiance paisible qui r\u00e8gne aux abords de ses eaux<\/strong>. Le paysage urbain est impressionnant, les immenses gratte-ciels se refl\u00e8tent dans le plan d’eau et l’on aper\u00e7oit la silhouette \u00e9lanc\u00e9e de la Tokyo Skytree.<\/p>\n

Une partie de l’\u00e9tang est enti\u00e8rement recouverte par des lotus, si denses que l’eau est \u00e0 peine visible au printemps. Aujourd’hui, c’est l’hiver. La neige tomb\u00e9e \u00e0 Tokyo quelques jours plus t\u00f4t n’a pas encore tout \u00e0 fait fondue et les lotus secs recouvrent l’\u00e9tang de leurs couleurs chaudes.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

Plus loin, une personne profite des quelques rayons de soleil de la journ\u00e9e assis sur un banc, en compagnie des oiseaux qui se rassemblent par dizaines pour venir picorer les quelques grains de riz qu’il leur a apport\u00e9s. Une personne brave courageusement le froid de cette journ\u00e9e d’hiver pour naviguer sur les eaux paisibles de l’\u00e9tang. Une bulle semble se former au c\u0153ur de la ville, rappelant que la nature est toujours au centre de la vie des Japonais<\/strong>, m\u00eame dans une m\u00e9gapole aussi \u00e9tendue et connect\u00e9e que Tokyo.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

Si ces sc\u00e8nes quotidiennes ne me sont pas inconnues, je d\u00e9couvre en revanche que l’ensemble du parc d’Ueno et son \u00e9tang sont parsem\u00e9s de spots Wi-Fi<\/strong>. Je n’ai qu’\u00e0 trouver le r\u00e9seau FREE Wi-Fi & TOKYO et j’ai acc\u00e8s \u00e0 internet sans avoir besoin de me r\u00e9enregistrer. La connexion est bonne, et je peux envoyer les photos que je prend \u00e0 mes amis, tr\u00e8s rapidement.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

Le c\u00e8dre de l’Himalaya de Yanaka<\/h2>\n

Non loin d’Ueno, la zone de Yanesen (le surnom-raccourci qui englobe les quartiers de Yanaka, Nezu et Sendagi), est connue pour avoir conserv\u00e9 l’atmosph\u00e8re du \u00ab\u00a0vieux Tokyo<\/strong>\u00ab\u00a0. C’est l’une des rares zones de Tokyo \u00e0 avoir surv\u00e9cu aux bombardements de la Seconde guerre mondiale et aux grands tremblements de terre ayant frapp\u00e9 la ville. N’ayant pas non plus connu de grands projets d’urbanisme, les gratte-ciels n’y sont pas omnipr\u00e9sents comme ils peuvent l’\u00eatre dans beaucoup de quartiers de Tokyo.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

Marcher dans ces rues permet de d\u00e9couvrir un aspect compl\u00e8tement diff\u00e9rent de Tokyo. Les rues calmes et \u00e9troites regorgent de vieux b\u00e2timents traditionnels<\/strong> et de temples<\/strong>.<\/p>\n

Au milieu de ces ruelles pousse aussi un arbre \u00e0 l’histoire particuli\u00e8re. Ce c\u00e8dre de l’Himalaya<\/strong> (Himaraya sugi<\/em> en japonais) y fut plant\u00e9 il y a environ 90 ans<\/strong> par le grand p\u00e8re de l’actuel g\u00e9rant d’une petite boutique qui se trouve au pied de l’arbre. Simple bonza\u00ef mis en terre, il finit par prendre des dimensions impressionnantes. Un tronc qui fait jusqu’\u00e0 3 m\u00e8tres de diam\u00e8tre pour une hauteur estim\u00e9e de 20 m\u00e8tres.<\/p>\n

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\"Test,<\/p>\n

Le mur de Tsuiji<\/h2>\n

Suite de la visite avec un symbole du quartier de Yanaka, le mur de Tsuiji<\/strong>, long de 37,6 m\u00e8tres. Construit durant l’\u00e8re Edo (1603-1868), il est compos\u00e9 de couches successives de terre et de briques. S’il a \u00e9t\u00e9 partiellement d\u00e9truit durant le tremblement de terre de 2011, il a \u00e9t\u00e9 depuis enti\u00e8rement restaur\u00e9 et donne un aper\u00e7u de l’architecture de Tokyo il y a plus de deux cent ans<\/strong>.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

La rue Yanaka Ginza<\/h2>\n

Yanaka Ginza<\/strong> est une petite rue incontournable lorsque l’on s’aventure dans Yanesen. Souvent bond\u00e9e le week-end, cette rue marchande<\/strong>, un peu \u00e9troite, aux \u00e9talages de poisson se m\u00ealant aux boutiques de souvenirs, donne l’impression de d\u00e9couvrir le Tokyo d’avant-guerre<\/strong>.<\/p>\n

Je m’y rends r\u00e9guli\u00e8rement depuis que je vis \u00e0 Tokyo, pour profiter d’une apr\u00e8s midi ensoleill\u00e9e \u00e0 d\u00e9ambuler \u00e0 la recherche d’une petite boutique int\u00e9ressante ou pour prendre quelques chats en photo. Les chats y sont si omnipr\u00e9sents qu’ils sont devenus les mascottes du quartier.<\/p>\n

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Le sanctuaire de Nezu-Jinja<\/h2>\n

Le Nezu-Jinja<\/strong> est un sanctuaire shinto\u00efste<\/strong> inaugur\u00e9 en 1705. Ma visite de ce sanctuaire est venue conclure en beaut\u00e9 mon excursion dans la zone de Yanesen. On oublie rapidement que l’on est en plein c\u0153ur de la ville lorsque l’on p\u00e9n\u00e8tre dans le parc qui entoure le sanctuaire. Jardin japonais et petits ponts qui enjambent quelques cours d’eaux, le sanctuaire est toujours visit\u00e9 par quelques Japonais qui viennent y faire une pri\u00e8re. Ce jour l\u00e0, la neige qui s’accrochait donnait une ambiance particuli\u00e8re au lieu, le rendant plus d\u00e9paysant encore.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

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Mais ce qu’il y a de plus remarquable au Nezu-Jinja, ce sont ses all\u00e9es de torii<\/em><\/strong>. Ces petits portails rouges qui se succ\u00e8dent pour cr\u00e9er un v\u00e9ritable tunnel. Difficile de ne pas penser au tr\u00e8s c\u00e9l\u00e8bre Fushimi-Inari de Kyoto et \u00e0 ses interminables all\u00e9es si photog\u00e9niques. Si les all\u00e9es du Nezu-Jinja<\/strong> sont bien moins longues, et les torii<\/em> moin hauts, cela reste un v\u00e9ritable plaisir de faire quelques pas sous ces portails rouges.<\/p>\n

Le Nezu-Jinja offre un bel aper\u00e7u de ces structures typiquement japonaises, sans m\u00eame quitter Tokyo.<\/p>\n

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Le Wifi est aussi accessible dans les stations de m\u00e9tro<\/h2>\n

Pour terminer ma journ\u00e9e \u00e0 la recherche d\u2019authenticit\u00e9 et de tradition \u00e0 Tokyo, j’ai pris le m\u00e9tro<\/strong> en direction de Kagurazaka. En arrivant \u00e0 la station de m\u00e9tro d’Iidabashi, j’ai pu \u00e0 nouveau tester le Wifi gratuit<\/strong> de Tokyo.<\/p>\n

On trouve en effe, dans la plupart des stations de m\u00e9tro et de bus de la ville<\/strong> des bornes Wifi, gr\u00e2ce \u00e0 un partenariat entre le gouvernement de Tokyo et le r\u00e9seau nomm\u00e9 Metro Wi-Fi. Car, oui, il y a diff\u00e9rentes sources de Wi-Fi \u00e0 Tokyo, ce qui peut avoir l’air bien compliqu\u00e9 \u00e0 premi\u00e8re vue… Mais il n’en est rien : une fois enregistr\u00e9 sur le r\u00e9seau FREE Wi-Fi & TOKYO<\/strong>, vous aurez acc\u00e8s, entre autre, aux r\u00e9seaux du m\u00e9tro de Tokyo, des lignes Toei et des bus Toei.<\/p>\n

Il vous faudra cette fois-ci trouver METRO FREE Wi-Fi<\/strong>, et vous arriverez sur la page d’accueil du r\u00e9seau.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

Cliquer sur \u00ab\u00a0Access the internet here<\/strong>\u00a0\u00bb vous connectera au Wifi sans avoir besoin de vous enregistrer \u00e0 nouveau<\/strong>. L’occasion de profiter de la connexion pour s’amuser un peu avec Google traduction qui traduit en direct les mots en japonais depuis l’appareil photo du smartphone. Le r\u00e9sultat n’est pas toujours d’une grande exactitude, mais se r\u00e9v\u00e8le \u00eatre une aide pr\u00e9cieuse lorsqu’on ne peut pas d\u00e9chiffrer les kanji<\/em> japonais.<\/p>\n

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Kagurazaka, le \u00ab\u00a0petit Kyoto\u00a0\u00bb de Tokyo<\/h2>\n

Me voil\u00e0 donc dans les rues de Kagurazaka<\/strong>, aussi surnomm\u00e9 le \u00ab\u00a0petit Kyoto\u00a0\u00bb de Tokyo<\/strong>. Ce surnom lui vient de la pr\u00e9sence des nombreuses maisons de geisha<\/strong> qui se sont d\u00e9velopp\u00e9es au d\u00e9but du XXe si\u00e8cle. Le quartier est agr\u00e9able, anim\u00e9.<\/p>\n

On y trouve plusieurs temples bouddhistes, notamment le Zenkokuji<\/strong> qui a plus de deux cents ans. Mais il existe aussi un sanctuaire \u00e0 l’allure plut\u00f4t moderne : le Akagi Jinja <\/strong>qui, bien que fond\u00e9 autour de l’an 1300, a \u00e9t\u00e9 r\u00e9cemment enti\u00e8rement r\u00e9nov\u00e9 et pr\u00e9sente aujourd’hui un design int\u00e9ressant fa\u00e7onn\u00e9 \u00e0 partir de bois et de verre<\/strong>.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

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Kagurazaka<\/strong> est \u00e9galement connu comme \u00e9tant le quartier fran\u00e7ais de Tokyo<\/strong>. Depuis que l’institut Fran\u00e7ais du Japon et le lyc\u00e9e Franco-Japonais y ont \u00e9lu domicile, la pr\u00e9sence de ressortissants fran\u00e7ais y est devenue tr\u00e8s significative. On trouve du coup de nombreux restaurants ou p\u00e2tisseries fran\u00e7aises.<\/p>\n

\"Test,<\/p>\n

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