wagashi<\/em> sont un peu consid\u00e9r\u00e9es comme des confiseries vintage, et la boutique Mizuno en propose une large gamme.<\/p>\n\n\n\nD\u2019abord un peu perdue devant tant de choix, j\u2019ai finalement opt\u00e9 pour un d\u00e9licieux mitarashi dango<\/em> (\u307f\u305f\u3089\u3057\u56e3\u5b50 – brochette de boules de riz \u00e0 la sauce soja sucr\u00e9e). Puis, sur recommandation du vendeur, je me suis \u00e9galement laiss\u00e9 tenter par la sp\u00e9cialit\u00e9 de la maison : le shio daifuku<\/em> (\u5869\u5927\u798f).<\/strong><\/p>\n\n\n\n\nD\u00e9licieux shio daifuku<\/em><\/figcaption><\/figure>\n\n\n\nBrochette mitarashi dango<\/em><\/figcaption><\/figure>\n\n\n\n <\/figure>\n<\/figure>\n\n\n\nCe mochi <\/em>sal\u00e9 fourr\u00e9 \u00e0 la p\u00e2te de haricots rouges sucr\u00e9e offre un parfait \u00e9quilibre sucr\u00e9-sal\u00e9 qui vient chatouiller les papilles. N\u2019\u00e9tant d\u2019ordinaire pas une fan de sucr\u00e9-sal\u00e9, j\u2019\u00e9tais au d\u00e9part tr\u00e8s r\u00e9ticente, mais l\u2019arri\u00e8re-go\u00fbt de sel \u00e9tant tr\u00e8s l\u00e9ger, celui-ci vient juste sublimer la p\u00e2te de anko<\/em> sucr\u00e9e \u00e0 l\u2019int\u00e9rieur. Tout simplement d\u00e9licieux, on comprend alors pourquoi il fait la renomm\u00e9e de la boutique depuis tant d\u2019ann\u00e9es. De quoi ravir les amateurs de sucr\u00e9-sal\u00e9 !<\/p>\n\n\n\nLe temple Koganji \u00e0 Sugamo, l\u00e0 o\u00f9 retrouver la sant\u00e9<\/strong><\/h2>\n\n\n\nEn continuant ma route, je me suis tr\u00e8s vite retrouv\u00e9e devant le fameux Togenuki Jizouson Koganji (\u3068\u3052\u306c\u304d\u5730\u8535\u5c0a\u9ad8\u5ca9\u5bfa) en plein milieu de la rue Jizodori. Ce temple bouddhiste appartient \u00e0 la secte Soto Zen et daterait du 19e si\u00e8cle. On y trouve quelques jizo <\/em>protecteurs v\u00eatus de rouge ainsi que bon nombre d’obaachan<\/em> et d’ojiichan<\/em> venus prier, papoter ou simplement se reposer sur les quelques bancs disponibles.<\/strong><\/p>\n\n\n\n
<\/figure><\/div>\n\n\n\n <\/figure>\n\n\n\nJizo <\/em>protecteurs <\/figcaption><\/figure>\n\n\n\n <\/figure>\n<\/figure>\n\n\n\nApr\u00e8s avoir pris quelques photos, mon regard s’est arr\u00eat\u00e9 sur un spectacle tout \u00e0 fait unique : des Japonais \u00e9taient en train de faire la queue pour nettoyer \u00e0 tour de r\u00f4le une statue de Kannon, la grande d\u00e9esse de la compassion.<\/strong> En faisant quelques recherches, j’ai d\u00e9couvert qu’il s’agissait en fait d’un rituel purificateur : en versant de l’eau sur le corps de la statue et en lui frottant les parties du corps malades ou douloureuses \u00e9quivalentes, la douleur et la maladie cesseront alors. Et si l’on est d\u00e9j\u00e0 en bonne sant\u00e9, on frotte la statue dans son int\u00e9gralit\u00e9 pour rester en forme.<\/strong><\/p>\n\n\n\n
<\/figure><\/div>\n\n\n\n <\/figure>\n\n\n\n <\/figure>\nPlus qu’un simple bain, c’est avant tout un rituel purificateur<\/figcaption><\/figure>\n\n\n\nBien que ce temple soit principalement visit\u00e9 par les personnes \u00e2g\u00e9es, on y trouve \u00e9galement des jeunes venus prier pour leur sant\u00e9 ou simplement profiter du calme et de la beaut\u00e9 des lieux. J\u2019ai \u00e9t\u00e9 profond\u00e9ment apais\u00e9e par l\u2019atmosph\u00e8re sereine du temple Koganji et je n\u2019h\u00e9siterai pas \u00e0 y retourner si l\u2019occasion se pr\u00e9sente.<\/p>\n\n\n\n
Se rendre \u00e0 Sugamo<\/h2>\n\n\n\n Voici les deux options les plus accessibles avec les transports en commun pour vous rendre jusqu’\u00e0 la rue Jizodori \u00e0 Sugamo :<\/p>\n\n\n\n
\nVia la gare de Sugamo (\u5de3\u9d28\u99c5) sur la ligne Yamanote <\/li>\n\n\n\n Via la gare de Shin-koshinzuka (\u65b0\u5e9a\u7533\u585a\u505c\u7559\u5834) sur la ligne de tramway Toden Arakawa<\/li>\n<\/ul>\n\n\n\n
Plan de Sugamo<\/figcaption><\/figure><\/div>\n\n\n