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Hamamatsu se trouve à l’ouest de la préfecture de Shizuoka. Outre l’abondance de sa nature qui offre des paysages à couper le souffle, Hamamatsu est également dotée d’une grande richesse historique. Durant l’époque d’Edo, cette région jouait un rôle central, car il s’agissait d’une étape majeure sur la route du Tokaido, la route historique qui reliait Tokyo à Kyoto. C’est la raison pour laquelle Hamamatsu regorge d’innombrables sites touristiques et qu’on peut y découvrir la culture traditionnelle japonaise au travers d’une multitude d’activités et d’initiations. Sans oublier de mentionner sa succulente gastronomie, offrant notamment une place de choix aux mandarines mikan et à la célèbre unagi (anguille), l’un des mets préféré des japonais.

Hamamatsu est la plus grande ville de la préfecture de Shizuoka. La production d’instruments de musique et de voitures lui a permis de devenir un pôle industriel et économique majeur. Facile d’accès en Shinkansen depuis Tokyo (90 minutes) et Kyoto (60 minutes), il s’agit de la destination idéale, et pourtant encore peu connue, pour un agréable périple qui vous fera découvrir les charmes de la région.

Une croisière sur le lac Hamana

Le lac Hamana (浜名湖, Hamanako) est le dixième plus grand lac du Japon. À l’origine, il s’agissait d’un lac d’eau douce et il était totalement séparé de l’océan. Mais suite à un tremblement de terre qui eut lieu il y a environ 500 ans, l’eau du lac s’est mêlée à celle de l’océan. Hamanako est célèbre pour ses anguilles et ses huîtres, des spécialités locales qui peuvent être dégustées dans de nombreux restaurants de la région. Une grande partie des attractions du lac Hamana sont concentrées à Kanzanji Onsen, un village thermal où l’on peut profiter de multiples activités avant de se détendre dans les eaux chaudes des bains onsen.

Je suis venue à Kanzanji Onsen en bus, depuis la gare de Hamamatsu. En marchant le long de la rue principale, j’ai croisé des groupes de visiteurs, certains vêtus de yukata, d’autres achetant quelques souvenirs ou passant un moment de détente dans les cafés et les restaurants.

Après une agréable promenade, je suis enfin arrivée au port de Kanzanji où j’allais profiter d’une croisière sur le lac Hamana à l’heure du coucher du soleil. Alors que j’attendais sur le pont du bateau, une mouette se posa sur la rambarde. Je ne m’imaginais pas alors ce qui allait se passer quelques minutes plus tard. Quand le bateau commença à avancer, des dizaines de mouettes sont soudainement apparues et survolaient nos têtes pour se joindre à notre traversée. Mes compagnons de croisière m’expliquèrent que les mouettes migrent souvent depuis la Sibérie pour venir ici durant l’hiver, et que leur donner à manger durant la croisière sur le lac est une activité particulièrement populaire.

S’initier à l’art de la teinture traditionnelle

L’importance historique de la région de Hamamatsu lui vaut d’être aujourd’hui riche en culture et en traditions. De nos jours encore, des artisans se servent de techniques traditionnelles dans leurs ateliers. Pendant l’époque d’Edo, Hamamatsu était, entre autre, l’un des plus grands producteurs de coton du Japon. Cela permit l’émergence d’ateliers familiaux en lien avec l’industrie du textile, comme des ateliers de tissage et de teinture.

Afin d’assurer la pérennité des textiles propres à Hamamatsu, la région encourage des initiatives et des projets permettant de créer de nouveaux produits à partir des techniques traditionnelles utilisées pour tisser et teindre le tissus. Ces ateliers proposent des initiations qui permettent aux visiteurs de découvrir par eux-même ces différents artisanats traditionnels.

Teindre une serviette washi à Washi Taoruyasan

Lorsque j’ai pris une douche au Japon pour la première fois, je fus surprise de constater qu’on utilise ici de petites serviettes pour se laver, au lieu de se servir d’une éponge de bain. Mais je fus plus surprise encore lorsque j’appris que certaines de ces serviettes sont en papier. Ces serviettes, que l’on appelle washi taoru, sont faites à partir de papier japonais washi résistant à l’eau, tissé selon des techniques similaires à celles employées pour fabriquer les filets de pêche que l’on déploie sur le lac Hamana pour attraper des poissons.

Ces washi taoru présentent de nombreux avantages par rapport à de simples éponges de bain. Elles sont résistantes à l’eau, ont une longue durée de vie, et conservent leur texture pendant longtemps. Plus important encore : le papier washi permet d’effectuer un gommage de la peau qui élimine l’excès de sébum et les divers résidus qui s’y sont accumulés, et stimule la circulation sanguine. Il paraîtrait même que le washi absorbe les odeurs et la saleté. Il n’y a donc que des avantages à utiliser une washi taoru, n’est-ce pas ?

des serviettes de toilette en papier japonais washi
Les serviettes washi de l’atelier Washi Taoruyasan

En visitant l’atelier Washi Taoruyasan, j’ai pu découvrir la manière dont les artisans tissent soigneusement les fibres de papier washi pour façonner leurs serviettes délicates mais robustes. Les artisans m’ont même montré le processus de la teinte des serviettes, dans une petite cuisine pleine de pots de toutes sortes, où un artisan mélange des couleurs à la manière d’un alchimiste médiéval. Je suis repartie avec une serviette que j’utilise désormais tous les jours, teintée de dégradés d’orange, de jaune, et de rose, les couleurs que j’avais choisies.

Initiation à la teinture traditionnelle japonaise à Nihashi Somekoujo

Le chusen some est une technique de teinture japonaise traditionnelle, transmise de génération en génération depuis le milieu du XVIIIe siècle. Cette technique permet d’appliquer la teinture directement sur le tissus, ce qui rend les couleurs plus saturées, lumineuses, et vives.

L’atelier Nihashi Somekoujo se sert de cette technique pour teindre divers objets en tissus, notamment des yukata et des tenugui (de fines serviettes en coton). Quand l’artisan m’expliqua les différentes étapes de ce procédé, j’eus l’impression de ne rien comprendre. Il rit en me voyant si perplexe, puis m’expliqua que ma réaction était parfaitement normale, et qu’il me fallait attendre de voir la dernière étape pour comprendre l’ensemble du procédé.

Nous avons commencé par placer un motif sur le tissus en coton. Ensuite, à l’aide d’une spatule, nous avons appliqué une couche de colle grise et épaisse sur le tissus, là où était placé le motif. Nous avons répété la même chose pour chaque motif qui devait apparaître. C’est là que commence la partie amusante du procédé : la colle permet d’isoler les espaces qui étaient recouverts par les différents motifs, afin que les couleurs ne se mélangent pas entre elles au moment de teindre le tissus. Le temps est passé à toute vitesse pendant que je choisissais mes couleurs et que je les appliquais à mon tenugui. Lorsque j’eus terminé, l’artisan lava la serviette afin d’enlever la colle. Mon tenugui était fin prêt, arborant les principaux symboles de Hamamatsu. J’avais enfin compris cette technique de teinture qui m’avait semblé si compliquée au début.

L’un des aspects de l’atelier de Nihashi Somekoujo que j’ai le plus apprécié, c’est que l’on repart avec un objet unique. Même en utilisant des motifs similaires, le choix des couleurs et leurs combinaisons permettent de créer des pièces radicalement différentes les unes des autres.

Découvrir les temples de Hamamatsu

On trouve de nombreux temples et sanctuaires à Hamamatsu, dont les cinq temples du Kohoku Gozan, inscrits au patrimoine culturel du Japon, aux côtés de sanctuaires locaux plus petits mais qui n’en valent pas moins le détour.

Prier pour la divinité du tissage au sanctuaire d’Ubuginu

Le sanctuaire d’Ubuginu se trouve à Mikkabi, un petit village agricole de la région de Hamamatsu. Comme nous l’avons vu plus tôt, l’industrie du textile est profondément ancrée à Hamamatsu, c’est la raison pour laquelle ce sanctuaire est dédié à Orihime, la divinité du tissage. Orihime est l’un des personnage de la célèbre légende du Tanabata, qui donne lieu au festival du même nom, célébré chaque année le 7 juillet. L’histoire raconte que la princesse Orihime passait ses journées à tisser de belles œuvres en tissus au bord de la rivière céleste, et c’est cet aspect de la légende qui vaut à cette divinité d’être étroitement liée au sanctuaire d’Ubuginu.

Depuis plus de 800 ans, on tisse chaque année dans ce sanctuaire des vêtements de cérémonie (des vêtements portés par les divinités), pour les envoyer en offrande au sanctuaire d’Ise Jingu. Le sanctuaire d’Ubunigu jouit par ailleurs d’une grande popularité auprès des personnes impliquées dans l’industrie du textile et de la mode, qui viennent ici prier pour la prospérité de leurs entreprises.

Dans un petit bâtiment à l’intérieur du sanctuaire, j’ai pu découvrir un ancien métier à tisser, et je me suis mise à imaginer la déesse Orihime en train de tisser dans ce lieu calme et isolé en pleine nature. Le cadre est absolument magique, avec des arbres gigantesques et un sol tapissé de feuilles mortes. Le décor parfait pour une divinité de la mythologie japonaise. Les célèbres constructeurs automobiles Toyota et Suzuki ont également développé des machines à tisser, et ces deux entreprises sont nées ici, à Hamamatsu et Hamanako.

Le sanctuaire Hamanasosha Shinmeigu

Mikkabi abrite également le sanctuaire Hamanasosha Shinmeigu. Fondé il y a plus de 1000 ans et étroitement lié au célèbre sanctuaire d’Ise Jingu dans la préfecture de Mie, la légende attribue même à ce sanctuaire près de 2000 ans d’histoire.

Selon cette légende, il y a 2000 ans, l’empereur Suinin ordonna à sa fille, la princesse Yamatohime no Mikoto, de chercher un lieu de culte afin d’apaiser l’esprit d’Amaterasu, la divinité du soleil. Durant son voyage, la princesse s’arrêta là où se trouve aujourd’hui le sanctuaire Hamanashosa Shinmeigu.

Bien que la date exacte à laquelle le sanctuaire fut fondé reste inconnue, on sait qu’en 940, Mikkabi passa sous le règne d’Ise Jingu et que Hamanashosa fut alors dédié à la divinité Amaterasu. Depuis, ces deux sanctuaires sont étroitement liés.

En me promenant dans l’enceinte du sanctuaire, j’ai aperçu un bâtiment situé au sommet d’une colline. Il s’agissait en réalité du sanctuaire principal, mais il n’est accessible que certains jours de l’année. Les habitants de la région connaissent surtout ce sanctuaire pour la cérémonie du Shichi-Go-San, un festival donné en l’honneur des garçons de trois et cinq ans, et des filles de trois et sept ans. Des plaques en bois ema, ornées d’illustrations de ce festival, et où les enfants et leurs parents écrivent leurs souhaits, sont accrochés à l’intérieur du sanctuaire.

Se régaler avec la gastronomie de Hamamatsu

Hamamatsu a la chance de pouvoir tirer parti d’une nature riche et abondante, grâce à ses montagnes, ses rivières, et son océan. La cuisine de Hamamatsu est donc variée et préparée à partir de nombreux produits frais. Mais les plats à l’honneur dans la région sont sans aucun doute l’anguille et les gyozas.

Le lac Hamana : aux origines de l’élevage d’anguille au Japon

Si Hamamatsu est célèbre pour son unagi (anguille), c’est en partie parce que le lac Hamana serait le berceau de l’élevage d’anguille au Japon. Grâce à la douceur du climat et à la passion des éleveurs d’unagi, les anguilles du lac Hamana se sont forgées une excellente réputation dans tout le pays.

Avant de vivre au Japon, je n’aurais jamais imaginé pouvoir manger de l’anguille un jour, car ce n’est pas un plat très populaire en Espagne, mon pays d’origine. Et je dois bien avouer que la première fois que j’y ai goûté j’avais quelques appréhensions. Mais mon opinion a radicalement changée dès la première bouchée, et c’est très vite devenu l’un de mes plats préférés. Je ne pouvais donc pas quitter Hamamatsu sans goûter à leur fameuse unagi.

Un soir, j’ai donc décidé de dîner à Unagi Fujita, un restaurant traditionnel spécialisé dans l’unagi, qui se trouve près de la gare de Hamamatsu. Le restaurant propose un large choix de plats préparés à base d’anguille. J’ai choisi le classique unaju : une anguille coupée en filets qui sont cuits à la vapeur avant d’être grillés et généreusement arrosés de sauce kabayaki, aux saveurs sucrées salées, le tout servi sur du riz.

La texture de l’anguille se marie à la perfection aux saveurs sucrées de la sauce, ce qui rend ce plat si populaire au Japon.

Les saveurs locales de Hamamatsu

On trouve, à Mikkabi, deux boutiques célèbres et historiques dans lesquelles on peut acheter de délicieux souvenirs pour continuer à profiter des saveurs de Hamamatsu une fois de retour chez soi. Ces deux boutiques sont côte à côte, il ne sera donc pas nécessaire de marcher longuement ni d’emprunter les transports en commun pour aller de l’une à l’autre.

Nagasaka Apiary

Je suis arrivée à Nagasaka Apiary quelques minutes avant l’ouverture, mais je fus surprise de découvrir qu’un groupe de personnes attendait déjà devant la porte d’entrée. Plus tard, j’appris de la bouche du personnel qu’ils étaient généralement très occupés car cette boutique jouit d’une certaine célébrité, aussi bien auprès de la population locale que des touristes. Nagasaka Apiary, fondé il y a 84 ans, propose aujourd’hui un assortiment de plus de 100 variétés de miel et d’autres produis à base de miel.

Devant un tel choix de miels, il m’a fallu un certain temps avant de décider ce que j’allais acheter. J’aime tellement le miel que je voulais tout ramener à la maison ! Mais j’ai fini par jeter mon dévolu sur deux variétés de miel recommandés par le personnel pour les offrir à ma famille, et j’ai pris quelques cadeaux pour mes amis. On m’a également recommandé de goûter à la glace de la boutique, qui doit sa popularité à son nappage de miel. Je venais de prendre mon petit déjeuner, mais je me suis quand même laissée tenter. Sa texture onctueuse et la saveur sucrée du miel en valaient la peine.

Irikawaya

Les Mikkabi mikan, originaires de Mikkabi, comme leur nom l’indique, doivent leur succès au climat de la région, parfaitement adapté à la culture de savoureux agrumes. Il n’est donc pas surprenant que le mikan monaka, une pâtisserie traditionnelle japonaise fourrée à la mandarine mikan, soit l’un des produits les plus populaires d’Irikawaya.

Irikawaya fut fondé en 1885 par un grossiste en poissons, et la boutique fut transmise de génération en génération, enrichissant son offre avec de nouveaux produits au fur et à mesure de son évolution. À Mikkabi, les mandarines ne sont disponibles que durant la saison des récoltes, ils ont donc décidé de lancer un nouveau produit qui permettrait à leurs clients de profiter de leur saveur toute l’année, et c’est ainsi que le mikan monaka vit le jour.

Mais vous trouverez bien d’autres gâteaux et sucreries à Irakawaya : leurs gâteaux au fruits et au chocolat ou leur viennoiseries moelleuses mettaient l’eau à la bouche. Outre leur mikan monaka, j’ai acheté un petit assortiment de pâtisseries que j’ai savourées dans le train en rentrant à Tokyo.

Profiter du lever du soleil depuis un hôtel au bord du lac Hamana

Hamamatsu est la destination idéale pour profiter d’un week-end de détente, ou pour partir à la découverte du charme des villes rurales et oublier son quotidien dans une ville surpeuplée. C’est pourquoi il est primordial de bien choisir son hébergement. Lorsque je suis arrivée au KIARA Resort & Spa Hamanako, je savais que j’avais trouvé l’hôtel parfait. Il s’agit d’un hôtel de villégiature situé sur les rives du lac Hamana. Mon expérience dans cet hôtel peut se résumer en deux mots : confort et omotenashi (l’hospitalité japonaise). KIARA vous offre l’illustration parfaite de ce qu’est l’omotenashi, depuis le moment où vous franchissez la porte jusqu’à votre départ.

Toutes les chambres bénéficient de grandes fenêtres et d’une terrasse donnant sur le lac, ce qui permet de profiter pleinement de la beauté de la nature de Hamamatsu. Le matin, je pus même admirer un beau lever du soleil depuis mon lit. La salle de bain aussi est dotée d’une grande fenêtre. J’ai donc décidé de prendre un bain pour me détendre en profitant de la vue sur le lac avant d’aller dormir. KIARA dispose également d’un spa et propose des soins de détente, mais je me sentais tellement relaxée après mon bain que je n’en ai pas ressenti le besoin.

Les repas font aussi parti des points forts de l’hôtel. Il dispose de deux restaurants proposant deux styles de cuisine bien différents. CIEL BLEU vous permettra de déguster un repas de cuisine française ou d’une cuisine fusion haut de gamme. FOS propose quant à lui un menu occidental et un menu kaiseki préparé à partir de produits locaux de saison. Les deux menus permettent d’accéder à un buffet où l’on trouve des sushis préparés avec des poissons fraichement pêchés dans les eaux du lac Hamana et d’autres plats tout aussi délicieux. Le matin, vous pourrez également choisir entre un petit déjeuner japonais ou occidental.

Mon séjour à KIARA fut merveilleux du début à la fin. Outre le confort que l’on peut trouver dans un hôtel de villégiature, ce fut aussi un véritable régal pour les cinq sens. KIARA Resort & Spa Hamanako est un hôtel réservé aux membres, mais des chambres sont aussi disponibles pour les visiteurs, il s’agit donc de l’endroit idéal pour séjourner dans un hôtel de rêve.

Kitanoniwa THE KURETAKESO à Hamamatsu

Si vous prévoyez de passer la nuit près de la gare de Hamamatsu, je vous recommande l’hôtel Kitanoniwa à Kuretakeso. Il s’agit d’un hôtel moderne très agréable. Les chambres sont spacieuses et confortables, et son emplacement à proximité de la gare et des arrêts de bus en fait le choix idéal si vous souhaitez vous déplacer en transports en commun. Si vous souhaitez par exemple vous rendre au lac Hamana, vous ne serez pas obligé de prendre un bus en direction de Tateyamaji Onsen, vous pourrez monter à bord d’un train à la gare de Hamamatsu et arriver à Bentenjima, sur les rives du lac Hamana, en seulement 13 minutes, et profiter de la vue spectaculaire qui s’offre à vous. Dans l’hôtel, chaque soir, vous pourrez profiter de boissons à volonté dans le restaurant de l’hôtel durant l’happy hour, et vous régaler du buffet proposé au petit déjeuner.

Comment se rendre à Hamamatsu

Pour vous rendre à Hamamatsu, prenez un train à grande vitesse JR Tokaido Shinkansen depuis Tokyo ou Kyoto jusqu’à la gare de Hamamatsu. Pour vous déplacer dans la ville et ses environs, vous pourrez utilisez les nombreux bus et trains disponibles, ou prendre un taxi.

La région de Hamamatsu regorge d’innombrables lieux à visiter et d’activités à faire. Hamamatsu n’est peut-être pas la ville japonaise la plus connue des voyageurs, mais entre la beauté époustouflante de sa nature, ses sites historiques, et sa gastronomie succulente, vous pourriez être surpris et tomber amoureux de cette destination. Si vous avez envie de découvrir de nouveaux lieux et de vivre des expériences uniques qui vous feront plonger au cœur des traditions du Japon, vous trouverez votre bonheur à Hamamatsu.

Article écrit en partenariat avec la ville de Hamamatsu.
Traduit de l’anglais par Joachim Ducos

Lucia Tsujiguchi

Lucia Tsujiguchi

Llegué de Madrid a Tokio en 2017 con dos maletas repletas de sueños por cumplir y una mochila llena de miedos que vencer. Siempre con mi cámara, que me acompaña en cada uno de mis viajes y aventuras. Quiero narrar la verdadera esencia de este país, el Japón que se oculta en la rutina diaria, en los supermercados locales llenos de abuelas japonesas, en los restaurantes sin menú en inglés, en los tesoros escondidos en las zonas rurales, en las pequeñas cosas de las que apenas nos percatamos en nuestro día a día.

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